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Articles de Presse à l'étranger
2008 |
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Var Matin - 4
février 2008

Compte tenu des conditions météo, la démonstration d'un
assaut amphibie prévue lundi 4 et mardi 5 février sur la
plage de Bonnegrâce est annulée.
Remerciements
Jean-Louis Venne |
Var Matin - 4
février 2008

Remerciements
Jean-Louis Venne |
Cols Bleus - 9
février 2008



Remerciements Dominique Duriez |
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11 février 2008
- Meretmarine
BPC, TCD, chalands
de débarquement chargés d'hommes et de chars, frégates,
avisos, sous-marin, avions de chasse et hélicoptères... La
Marine nationale a sorti le grand jeu, la semaine dernière,
pour démontrer l'intérêt des moyens navals dont sont dotées
les armées françaises. Devant 400 représentants de la
société civile et militaire, une reconstitution grandeur
nature d'une opération d'évacuation, du type de celle menée
à l'été 2006 au Liban, s'est déroulée en rade de Toulon.
Baptisée « Écume Éternelle », ces manoeuvres ont rassemblé
de très importants moyens et ont permis de détailler toutes
les facettes d'une telle action. Pour l'occasion, un
scénario réaliste a été mis au point. Un pays fictif, «
Terrebrune », est victimes de graves troubles. Des milices
rebelles font régner un climat d'insécurité et déstabilise
le pouvoir en place et l'armée régulière, d'autant qu'elles
se sont emparées d'un escadron d'avions de chasse, d'un
sous-marin, et de deux ou trois navires de surface. Dans ces
conditions, la France décide d'évacuer les ressortissants
occidentaux, victimes d'exactions.
Le décor planté, les différentes unités vont progressivement
se déployer. Comme dans la réalité, l'action est interarmées
et démontre la nécessité de disposer d'une panoplie complète
de moyens pour faire face à toutes les situations.
Contrer les menaces à terre, dans le ciel, sur l'eau et
sous la mer
Ainsi, les nageurs de combat du commando Hubert assurent
d'abord le balisage et la reconnaissance du terrain ; les
troupes d'infanterie se mettent en place, appuyées par les
hélicoptères de l'armée de terre et de l'air ; le personnel
et les matériels sont débarqués à terre grâce aux moyens
amphibies de la Marine, le bâtiment de projection et de
commandement (BPC) Mistral étant au coeur du dispositif.
Alors que les troupes françaises prennent d'assaut les
plages de Terrebrune, l'exfiltration de 400 ressortissants,
en l'occurrence les invités, peut débuter sous la protection
des forces françaises. En l'air, la chasse de l'aéronautique
navale (Rafale, Super Étendard) et de l'armée de l'Air
(Mirage 2000) assure la maîtrise du ciel et appuie les
troupes au sol. Alors que des avions de patrouille maritime
surveillent le littoral, le danger est aussi en mer. Pour
contrer le submersible détenu par les rebelles, les frégates
anti-sous-marines montent la garde, alors qu'une frégate
antiaérienne se prépare à repousser une attaque venue du
ciel ou du ras des flots, si un missile surgit à l'horizon.
Dans le même temps, une frégate furtive, embusquée au large,
est prête à détruire tout navire ennemi qui tenterait de
s'en prendre à la force d'exfiltration. Et puis, pour
assurer le soutien indispensable de cette flotte, en
arrière, un pétrolier ravitailleur fourni vivres,
combustible et munitions aux bâtiments de combat.
Une chaîne où tous les maillons sont indispensables
En complément de ces démonstrations très guerrières mais
parfaitement en phase avec des situations réelles, la
thématique de la sauvegarde maritime a également été
abordée. Les missions de sauvetage en mer ont été illustrées
avec le largage d'un radeau et de matériel de survie par un
Falcon 50. Une démonstration de lutte contre la pollution a
vu l'intervention du navire spécialisé Ailette, qui a
déployé barrages flottants et pompes d'aspiration. Enfin, la
lutte contre les trafics illicites et le narcotrafic n'a pas
été oubliée, d'autant que la marine s'est illustrée dans ce
domaine en interceptant près de 7 tonnes de drogue depuis le
29 janvier. La démonstration a porté sur l'identification
d'une embarcation de trafiquants par un hélicoptère Panther,
qui embarquait un tireur d'élite, puis son interception par
les commandos marine.
Organisée dans le cadre des Journées de Présentation de la
Marine, qui se déroulent tous les ans, Écume Éternelle
démontre qu'une intervention d'ampleur nécessite une somme
de moyens spécifiques. Ainsi, sans chasse embarquée, pas de
maîtrise du ciel, sans frégate anti-sous-marine, pas de
défense contre les submersibles et sans flotte logistique,
pas de déploiement durable envisageable. De la même manière,
l'aspect interarmées apparaît aujourd'hui fondamental.
Ainsi, il ne servirait par exemple à rien de disposer de BPC
flambant neufs, si les forces terrestres ne pouvaient y
embarquer des matériels performants, chars comme
hélicoptères. Pour reprendre les propos d'un officier de
l'armée de Terre : « Les armées sont un ensemble de moyens
étroitement imbriqués, comme les maillons d'une chaîne. Si
l'un manque, c'est l'ensemble qui est fragilisé et mis en
danger ». A quelques semaines de la publication du Livre
Blanc sur la Défense, il était peut être bon de le rappeler.
Source web
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Var Matin
28 février 2008
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Var Matin - 4 mars 2008
C'est en octobre dernier, à bord du transport de
chalands de débarquement (TCD) Foudre »
que le jury du prix littéraire « Encre de marine
» a couronné le roman de Gaëlle Nohant oeuvre de
l'année 2007. C'est donc tout naturellement que
l'auteur fut invitée à bord de la Foudre
pour une séance dédicace de son premier livre
publié et dont l'intrigue se déroule au bord de
la mer.
Édité par les éditions Robert Laffont, avec
la participation du magazine Version Fémina,
« L'ancre des rêves », c'est son titre,
sonde les mystères des peurs d'enfants.
Gaëlle Nohant s'en explique.
Comment êtes-vous venue à la littérature ?
C'est une vocation précoce. Depuis l'âge de
six ans j'écris des histoires, des polars.
Après des études de Lettres et un début
d'enseignante, j'ai vite repris l'écriture
de romans. Plusieurs n'ont pas été édités.
Celui-ci a été remarqué par Robert Laffont
qui l'a présenté au Prix « Encre de Marine
».
L'action se déroule en Bretagne pourquoi ?
Je connais bien ce pays, mon père est
breton. La trame de l'histoire tourne autour
de la mer et des marins. Cinq enfants, les
héros de mon livre, font chaque nuit des
cauchemars terrifiants qu'ils taisent à
leurs parents. Leur mère leur interdit de
s'approcher de l'eau. L'un d'eux va réagir
et mener une enquête et découvrir que les
personnes de leurs rêves ont existé.
« L'ancre des rêves » est un peu un conte
fantastique ; avez-vous d'autres projets
d'écriture ?
Le prochain livre est de toute autre nature
puisqu'il a pour thème le rugby. C'est un
historique du RCT, une histoire d'hommes à
l'occasion de son centenaire. J'ai aussi en
chantier un polar sur la guerre de 14/18
avec une étude poussée sur les personnages
de cette époque.
En librairie, « L'ancre de Rêves » de
Gaëlle Nohant, éditions Robert Laffont. Prix
20 euros.
Adresse internet :
gnohant1921@hotmail.fr

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26 mars 2008
Toulon - Recruter 4 000 personnes
par an : mission difficile pour la Marine

Dans un marché du
travail tendu, la Marine nationale a déclaré « la guerre du recrutement
».
Mardi, elle réunissait
ses partenaires (ANPE, missions locales, proviseurs...) à bord de La
Foudre. : R. Barsotti
Avec l'avènement du « papy-boom », synonyme pour les
entreprises du départ en retraite d'un grand nombre
de salariés, la Marine est engagée dans une drôle de
guerre : celle du recrutement. Descendu tout
spécialement de Paris pour rencontrer les
professionnels de l'orientation et de l'emploi (1)
du grand Sud-Est, le capitaine de vaisseau Loïc
Finaz, commandant du Service d'Information sur les
carrières de la Marine, le clame haut et fort : «
Nous sommes dans un monde où la guerre du
recrutement est déclarée ! »
Pour la Marine qui recrute chaque année entre
3500 et 4000 personnes (lire par ailleurs),
les problèmes commencent à se faire sentir. «
Pour les métiers à haute technicité, tels que
les métiers de l'informatique, le contrôle
aérien, la maintenance aéronautique, la
détection sous-marine, il y a aujourd'hui
beaucoup plus d'offres d'emploi que de demandes
», révèle le commandant Finaz.
Inventivité et réactivité
Heureusement pour la Marine, qui reçoit tout de
même quelque 18 000 candidatures chaque année,
cette pénurie de main-d'oeuvre hautement
qualifiée était prévisible. « On savait qu'il
y aurait une bataille du recrutement. C'était
inscrit dans la démographie », explique le
capitaine de frégate Didier Cosme, chef du
centre d'information et de recrutement des
forces armées (2) à Toulon.
La Marine a donc dû se montrer réactive, voire
inventive, et a engagé quelques réformes.
«
Jusqu'à maintenant, la Marine proposait 35
spécialités différentes. Quant aux statuts, ils
étaient innombrables (...) On a donc décidé de
rendre notre offre plus attractive, plus simple,
plus lisible. Depuis le 1er mars, on a par
exemple regroupé les 35 spécialités ouvertes aux
matelots en neuf groupes de métiers. On envisage
de faire bientôt la même réforme pour les
officiers mariniers », explique le
commandant Finaz.
Apparition sur « Second Life »
Plus anecdotique, du moins en apparence, la
Marine a également recherché de nouveaux
vecteurs de communication. « Notre cible
étant les jeunes âgés de 17 à 25 ans, 30 ans
pour les officiers, on a été voir sur Second
Life (un espace virtuel. NDLR) », s'amuse le
commandant Cosme.
Le cas échéant, elle n'a pas hésité à remettre
en cause de vieilles pratiques. « Jusqu'à il
y a 2 ans, pour le métier de pilote de
l'aéronavale, on pensait qu'il valait mieux être
bon en mathématiques. On privilégiait systémati-
quement les scientifiques. Aujourd'hui, on se
rend compte qu'il est fondamental pour un pilote
d'être bon en anglais. On a donc ouvert le
métier aux littéraires », explique le chef
du CIRFA.
Mais le meilleur gage pour gagner cette bataille
du recrutement est encore de « monter des
partenariats, le plus en amont possible »,
affirme le commandant Cosme. Et de citer les
deux derniers en date : « On vient de passer
un partenariat avec un lycée hôtelier de Lozère.
Un autre avec le département Mesures Physiques
d'un IUT de l'Est de la France pour recruter nos
futurs atomiciens. »
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6 avril 2008 / Article Cols bleus

Remerciements Dominique
Duriez |
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Avril 2008 / Article Cols bleus
Remerciements Dominique
Duriez |
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31 mai 2008 / Article Cols Bleus

Remerciements Dominique
Duriez |
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7 juin 2008
Article de Presse / Var Matin

Remerciements Jean-Louis Venne
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10 octobre 2008
Var Matin

Remerciements Jean-Louis Venne
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13 décembre 2008 / Cols Bleus

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28 décembre 2008 / Articles Presse - Cols Bleus

Remerciements Dominique Duriez
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2009 |
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Janvier 2009 / Cols Bleus

Remerciements Dominique Duriez |
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7 mars 2009 / Cols Bleus

Remerciements Dominique Duriez |
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Mai 2009 / Festival de bande dessinées à bord
du TCD Foudre

Remerciements Dominique Duriez
Var Matin / 13 mai 2009

Remerciements Jacques Dubuc
Cols Bleus - 27 juin 2009

Remerciements Dominique Duriez
Cols Bleus - 25 juillet 2009

1er novembre
2009 / Var Matin

On
frôle le paradoxe. Depuis un an et demi, la Grande muette fait entendre sa
très officielle voix jusque sur la Toile. La Marine nationale a en effet mis
en place une plateforme qui héberge les blogs de ses navires (1). Eh oui,
les bateaux de la Royale ne se contentent pas de naviguer, ils surfent aussi
!
L'intérêt de
ces « Journaux de bord » est de communiquer « avec l'extérieur » sur
la vie du navire. Évidemment, inutile de chercher des infos sur l'activité
opérationnelle des bâtiments : les blogs sont essentiellement destinés aux
familles. On y parle escales, exercices mineurs, voire portraits de marins.
«
Pas de censure », mais un devoir de réserve
« Les
militaires sont soumis à un devoir de réserve, justifie Loïc Marrassé,
officier de communication de l'état-major de la Force d'action navale. Il
n'y a pas de censure mais une charte signée par le commandant. Cette règle
du jeu explique ce qu'il est possible d'écrire ou non. Mais en quelques
années, la volonté d'ouverture de la Marine sur le Web a quand même été
spectaculaire. »
Dix ans en
arrière, alors que tout le pays avait déjà une main sur la souris, il était
exceptionnel de pouvoir envoyer un e-mail depuis le large. Aujourd'hui,
chaque marin peut communiquer avec sa famille, via les courriels et les
ordinateurs à sa disposition.
Et
Facebook ?
« L'accès
aux sites de réseaux sociaux reste marginal pour des raisons techniques,
souligne Loïc Marrassé. Ça prendrait trop de bande passante et nous
n'avons pas l'ADSL en pleine mer... » Si la Marine montre clairement sa
« volonté de suivre l'évolution de la société », elle reste « une
institution publique qui ne peut pas tout se permettre en matière
d'interaction sur la Toile. Toutefois, la réflexion sur ce sujet existe
». Sur les 110 bâtiments de surface de la Force d'action navale, 57 ont déjà
franchi le pas des « Journaux de bord ». Cette semaine, c'est la frégate de
surveillance Floréal qui a demandé le droit de bloguer.
1. Si ces blogs
existaient déjà avant ladite plateforme, chaque équipage devait alors se
débrouiller avec les moyens du bord pour les faire héberger sur des sites
privés.
->
http://jdb.marine.defense.gouv.fr
Source Web /
Var Matin
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5 décembre 2009 / Armées d'aujourd'hui
Loyal Midas

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2010 |
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13 mars 2010
Article Cols Bleus

Remerciements Dominique
Duriez |
Décembre 2010
Armées d'aujourd'hui

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2011 |
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A suivre ........ |
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