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20 août 2006 - Les renforts français de la Finul ont quitté Toulon

Un détachement de 150 soldats a quitté le port de Toulon, dimanche 20 août 2006, à bord du Navire de Transport de Chaland de Débarquement (TCD) "Foudre" de la Marine nationale pour rejoindre l'avant-garde française de la Finul (Force intérimaire des Nations Unies au Liban) renforcée, au Sud-Liban.

Ces hommes du 13e régiment du Génie de Valdahon (Doubs) seront en vue des côtes libanaises jeudi ou vendredi pour une mission d'une durée encore indéterminée qui pourrait se prolonger au-delà de deux mois.

Ils auront pour mission d'appuyer et de faciliter la mobilité de la Finul et des forces armées libanaises dans leur redéploiement au Sud-Liban, a précisé le colonel Christophe Issac, commandant du régiment.

Ils seront épaulés sur le théâtre des opérations, entre le fleuve Litani et la frontière israélienne, par une section de 50 hommes du Génie, déjà présente sur place.

Une fois à pied d'oeuvre, le détachement parti dimanche de Toulon sera capable "de remettre en état les routes principales dans les zones défoncées par les bombardements", a souligné le colonel Issac.

Arrivés du Doubs, plus de 100 véhicules et engins ont été embarqués dans le temps record de deux jours

Source : ICI

 

Extrait revue municipale Fréjus

N° 29 / Janvier - Février 2006

Format PDF

 

 

Extrait revue municipale Fréjus

N° 30 / Mars - Avril 2006

 

 

Extrait / Web 20 minutes / 10 septembre 2006

La France, avec le débarquement samedi à Beyrouth d'un détachement de logistique, a engagé la deuxième vague de son déploiement au Liban mais les forces françaises de la Finul entendent agir sans précipitation pour conjurer les risques.

"Il faut laisser les choses se mettre en place doucement, ne pas brûler les étapes et ne pas risquer de faire un faux-pas", a souligné pour l'AFP le contre-amiral Xavier Magne. Le commandant de la force Baliste (rapatriement des Français du Liban) ssistait au déchargement de La Foudre dans le port de la capitale libanaise.

Les forces françaises restent encore marquées par le souvenir de l'attentat du "Drakkar", quartier général à Beyrouth de l'élément français d'une force multinationale, qui avait fait 58 morts parmi les militaires français à l'aube du dimanche 23 octobre 1983.

Plein jusqu'aux écoutilles, son pont supérieur occupé jusqu'au dernier centimètre carré par des dizaines de véhicules, le transport de chalands de débarquement (TCD) Foudre, a débarqué 250 hommes et 1.850 tonnes de matériel.

Une noria de véhicules en tout genre (blindés légers, antenne chirurgicale, camions citerne, véhicules de maintenance...) a promptement quitté le bord.

Ils ont rejoint le parc des expositions de la capitale libanaise, en attendant leur départ à une date encore indéterminée vers le Liban sud.

Le premier bataillon sera-t-il à pied d'oeuvre le 15 septembre? "Difficile à dire, on va débarquer les éléments, il faut qu'ils rejoignent leur lieu de déploiement et, une fois sur place, un minimum de conditions devront être remplies pour qu'ils soient opérationnels", répond prudemment le contre-amiral Magne.

Les éléments français de la Force intérimaire des Nations unies pour le Liban (Finul) seront déployés dans la région de Bint Jbeil, au Liban sud, non loin de la frontière avec Israël. Bint Jbeil accueillera également l'état-major français.

Ce fief traditionnel du Hezbollah a été le théâtre des plus violents combats entre l'armée israélienne et le Parti de Dieu en juillet et août.

La localité qui comptait quelque 40.000 habitants avant le conflit a été dévastée par les bombardements israéliens et doit être reconstruite avec l'aide du Qatar.

 

Extrait / Web 20 minutes / 10 septembre 2006

- Suite -

L'endroit est toujours infesté de sous-munitions et de mines abandonnées par les belligérants. Le cantonnement français doit en être débarrassé avant toute chose.

"Si les opérations de déminage se prolongent, le départ (vers le Liban sud) prendra plus de temps", prévient le colonel Eric Carrey, chef du détachement logistique. Il s'agit, insiste-t-il, d'agir "avec professionnalisme et non pas avec empressement".

La prudence est également de mise face à une éventuelle menace terroriste: "S'il arrive quelque chose qui soit de l'ordre du terrorisme", souligne le contre-amiral Magne, "il faudra se poser la question : +d'où est ce que cela vient ?" "Je ne pense pas que cela vienne de l'intérieur du pays. Je pense que cela viendra d'autres acteurs extérieurs qui ont peut être intérêt à maintenir ce pays dans un certain chaos", a-t-il estimé.

Le coup d'envoi du déploiement français avait été donné dès les 19 et 25 août avec le débarquement des premiers éléments du génie, tout particulièrement chargés de rétablir les voies de circulation.

Dimanche, quelque 300 soldats français des unités de logistique préparaient l'arrivée des 13 chars Leclerc et de l'artillerie lourde du premier bataillon français de la Force intérimaire des Nations unies (Finul).

"Nous sommes en train de préparer les zones sanitaires et de restauration pour que les éléments tactiques de la force puisse se concentrer sur leur mission dès leur arrivée", a déclaré à l'AFP le lieutenant-colonel Eric Carrey, chef du détachement logistique des éléments français de la Finul renforcée.

Ces unités logistiques sont en train de créer des zones de parking sécurisées qui accueilleront mardi les chars Leclerc, les plus puissants blindés de l'armée française, avant leur déploiement au Liban sud.

Les soldats français installent également des points de ravitaillement en carburant pour les chars et une chaîne d'atelier pour la maintenance des véhicules.

Ils ont commencé à percevoir le béret de l'Onu et "à se mettre aux normes de l'Onu avec des éléments identifiant les véhicules même si les discussions se poursuivent à l'Onu" sur la nécessité de peindre en blanc les véhicules onusiens, selon le lieutenant-colonel français.

Les éléments français de la Finul seront déployés dans la région de Bint Jbeil, non loin de la frontière avec Israël. Bint Jbeil, fief traditionnel du Hezbollah qui a été dévasté par des combats en juillet et août, accueillera également l'état-major français.

Les 700 autres hommes du premier bataillon français doivent être acheminés au Liban par avion d'ici au 15 septembre. La France doit engager au total 2.000 casques bleus au Liban. La Finul doit compter jusqu'à 15.000 hommes.


© 2006 AFP

 

2007

 

Janvier - Février

Bulletin municipal - Fréjus

N° 38 / Juillet - Août 2007

Bulletin municipal / Fréjus

Article Meretmarine / 10 août

Le Transport de Chalands de Débarquement Foudre est attendu à Brest dans quelques jours. Le bâtiment a embarqué un dôme sonar destiné au sous-marin nucléaire d'attaque Rubis, endommagé lors d'une plongée en mars dernier. La pièce, impressionnante, a été chargée mardi sur le TCD. L'opération s'est déroulée au quai d'honneur, offrant un spectacle très inhabituel aux nombreux touristes qui peuplent en cette saison la rade de Toulon. Le 30 mars, le Rubis avait touché le fond en Méditerranée. L'incident n'a pas fait de blessé mais s'est soldé par des dégâts sur la partie avant. Les avaries ne remettant pas en cause la navigabilité du sous-marin, celui-ci a gagné Brest mi-juin par ses propres moyens. Hasard du calendrier, un carénage du Rubis était prévu en Bretagne, chez DCNS, d'octobre 2007 à juillet 2008. La Marine nationale a donc décidé de profiter de cette longue Indisponibilité pour Entretien (IE) pour réparer les dégâts occasionnés par l'accident du mois de mars. Le chantier doit débuter le 3 septembre.
Premier sous-marin nucléaire d'attaque français, le Rubis a été admis au service actif en 1983 et fut suivi par cinq sisterships. D'une longueur de 73.6 mètres pour un déplacement de 2670 tonnes en plongée, ces bâtiments sont armés par 68 hommes et embarquent 14 torpilles et missiles antinavires.
Concernant la Foudre, le TCD profitera de son passage à Brest pour embarquer du matériel destiné à la base navale de Toulon.

Voir photos : Lien

Var Matin

13 août

 

Départ du TCD Foudre pour Brest

 

19 septembre

Var Matin

 

 

Remerciements Jean-Louis Venne

22 septembre - Cols Bleus

         

Remerciements Dominique Duriez

Octobre / La Marseillaise

26 novembre 2007 - Var matin

Exercice Gabian

Mer et Marine / 29 novembre 2007

Un Bâtiment de Projection et de Commandement, un transport de chalands de débarquement, une frégate, deux avisos, un bâtiment atelier, un pétrolier ravitailleur et deux engins de débarquement achèvent, aujourd'hui, une série de manoeuvres au large de Toulon. Depuis lundi, ces unités ont profité de l'exercice Gabian pour se remettre à niveau. Le Mistral, la Foudre, l'Aconit, le Cdt Birot, l'EV Jacoubet, le Jules Verne, la Meuse, le Sabre et la Rapière participent à cet entrainement, pour lequel l'armée de l'Air apportera son concours. Organisé régulièrement, Gabian permet, en rassemblant un nombre conséquent d'unités, de mutualiser les moyens d'entrainement, par exemple en matière d'opérations amphibies, de lutte antiaérienne ou encore de chasse aux sous-marins.

Source

Var Matin - 3 décembre 2007

Remerciements Jean-Louis Venne

14 décembre 2007

Restitution des projets « aménagement du TCD Foudre » pour les élèves de l’Ecole Internationale de Design de La Garde

Source : Portail des Sous-marins

Le 17 septembre dernier, les 12 élèves de 2ème année de l’École Internationale de Design (EID) de La Garde, spécialisés en design d’espace, effectuaient une « rentrée » scolaire un peu particulière.

Le mot d’ordre passé était juste de prévoir le nécessaire pour passer 3 jours hors de leurs foyers. La surprise fut de taille puisque les consignes étaient de les conduire, non pas dans un centre d’intégration de la région, comme ils se l’étaient imaginé, mais directement à bord du Transport de Chalands de Débarquement (TCD) Foudre, amarré dans la base navale de Toulon. A peine embarqués, les professeurs et les membres de l’équipage leurs fixaient leur « mission » : tout en s’appropriant l’ergonomie et la philosophie d’un bâtiment de la Force d’action navale, travailler sur un espace du bord à fortes contraintes, une salle de repas/détente, et proposer un aménagement inédit de cet espace au client, le TCD Foudre.

Les objectifs fixés, le bâtiment appareillait pour 3 jours d’entraînement au large de Toulon avec à son bord les apprentis marins, futurs designers.

Sur la base de leurs croquis et notes, chaque étudiant a mis à profit les 3 mois écoulés pour modéliser son projet.

La présentation des « modèles » par les étudiants au capitaine de vaisseau Emmanuel Gué, commandant le TCD Foudre, et à son équipage, aura lieu le lundi 17 décembre 2007 à 15h à bord du bâtiment. Seront également présents pour découvrir les travaux des « designers », le vice-amiral d’escadre Philippe Sautter, commandant la Force d’action navale, ainsi que les responsables et professeurs de l’EID.

Site web EID

Var Matin -19 décembre 2007

Des étudiants en design éclairent l'espace du bâtiment « Foudre »

Trois mois après leur immersion à bord du transport de chalands de débarquement Foudre, les treize élèves de l'École internationale de design de La Garde ont rendu leurs projets (lire notre édition du 19 septembre). Lundi, à bord du bateau gris, chacun a présenté son projet d'aménagement du carré des officiers.

Un espace à forte contrainte que les apprentis designers ont repensé. Le but ? Rendre le lieu plus convivial et plus pratique. Cette salle de repas et de détente doit également, en un laps de temps très court, être apte à héberger de vingt à soixante officiers mariniers.

Expérience particulière

« Les jeunes ont passé trois jours avec nous », rappelle le capitaine de vaisseau Emmanuel Gué, commandant de la Foudre. Une rencontre étrange entre « notre rigidité, rendue obligatoire par notre métier, et des artistes. Certains, à bord, les ont même qualifiés de babas cool...» Au fil du temps, l'intérêt et la compréhension se sont faits croissants. « Même si nous sommes différents, nous avons beaucoup de choses à nous apporter. Dans tous les coins, nous les retrouvions assis avec leurs cartons à dessin. J'ai entendu de nombreuses idées. Par exemple, de créer un code couleur pour se repérer. Eux, ont dû se plier aux règles, comme le réveil au clairon ou les repas à heures fixes. »

Chez les étudiants, certains tabous sont tombés. « Loin des idées reçues », tous vantent l'ambiance chaleureuse, conviviale, amicale, fraternelle, qui règne à bord du bâtiment. Rémy Stephan, professeur de design d'espace, vantait lui aussi cette première : « Nous voulions sortir du cadre de l'école. On parle toujours d'entreprise. Là, il y en a une belle, une grande ! »

Au final, élèves, marins et professeurs sortent enthousiastes. Et ces projets seront certainement amenés à être reconduits.

R. S.

Var Matin / Source Web

 

 

 

 

 

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